Mary Mann

Et non les vaincre !

Vous souffrez de bouffées émotionnelles ? Vous réagissez toujours aux mêmes choses et trop fort ? Vous ruminez souvent pendant des lustres ? Et vous aimeriez venir à bout de ce mal-être qui vous épuise et vous maintient dans une spirale infernale de négativité et de répétitions sans fin. Certains se font une joie d’employer des formules « chocs » et prometteuses : ils vous promettent de vaincre les émotions négatives grâce à des solutions qui finalement vous en détournent… Laissez-moi vous compter pourquoi vaincre les émotions négatives est non seulement impossible, mais surtout non souhaitable. Découvrez plutôt l’utilité des émotions et apprenez comment gérer ses émotions négatives efficacement.

Certains vous l’assurent et n’ont pas peur de se contredire.
Il faut écouter ses émotions mais en même temps les seules solutions qu’ils vous proposent pour aller mieux sont de faire diversion pour éviter de trop les ressentir.
Bon… Faut savoir !

Et tout ça à grand renfort de méditation, sophrologie, sport… qui permettent d’évacuer les tensions et de ne pas trop y penser.
Selon eux, il vous suffit aussi de positiver, de prendre du recul et tout ira bien.

Certes, dans l’urgence, c’est bien d’activer la soupape pour relâcher la pression…
Mais et si les émotions négatives reviennent inlassablement ?
Eeuuuh… Ben on recommence !?

Non…

En même temps, je vous comprends.

La nature humaine est ainsi faite : elle n’aime pas souffrir. Elle fait tout pour éviter la souffrance.

L’humain croit que maintenir à l’écart les émotions négatives qui le dérangent lui fera trouver la paix intérieure.

Par exemple, beaucoup de gens méditent pour fuir leurs tourments qui hurlent à l’intérieur. D’autres se réfugient dans une fuite spirituelle pour ne pas rencontrer des peurs ou des colères et croient ainsi les transcender. Mais ce n’est qu’une illusion. On ne peut pas trouver la paix durablement ainsi !

Or c’est bien plus facile de faire des activités plaisantes pour s’en détourner ou de faire encore l’autruche ou du tennis avec ses émotions négatives que d’aller leur dire bonjour :-).
« Oh non, je ne veux pas ressentir ça, tu me déranges… »
Bam ! Coup de raquette pour la renvoyer dans ses pénates…
Pas grave, elle reviendra plus tard. Probablement en plus fort…

Ou encore sophrologie : paradis perdu verdoyant « Oh, c’est merveilleux ! »Je m’évade, que cet imaginaire est beau ! »

Quelle belle illusion durant quelques minutes… Mais le problème à l’origine de votre inconfort émotionnel n’est pas réglé pour autant et continue de vous hanter dans votre inconscient.

VAINCRE SES EMOTIONS : ETES-VOUS EN GUERRE ?

Tout d’abord, on va pas se mentir : « vaincre ses émotions » est une formule marketing pour vous faire lire un article ou cliquer sur une vidéo.
Eh oui ! Les gens aiment qu’on leur vende du rêve…

Pourquoi vaincre les émotions négatives est illusoire et non souhaitable ?

 

Car premièrement, une émotion n’est pas votre ennemi, vous n’êtes pas en guerre.

En guerre contre vous-même qui plus est ! Le langage est inapproprié.
Encore plus quand on vous vend ensuite de l’acceptation.

Là, j’en perds mon latin…

Bref, une émotion est un langage intérieur. Elle est en vous, vous la ressentez.

Étymologiquement, c’est un mouvement affectif créé par une sensation qui vient d’un stimuli extérieur (MOTIO=mouvement + E=qui vient de)

Les émotions sont là pour vous aider à vous adapter à chaque situation de votre vie, à survivre et à interagir avec votre environnement.

  • Elles indiquent dans quelle mesure vos besoins sont satisfaits ou insatisfaits.
  • Elles vous informent sur votre état intérieur.
  • Elles vous donnent un message précis à propos de votre équilibre intérieur.

Les émotions « négatives » ne sont pas vos ennemis.

Une émotion est la traduction pour vous d’une situation.
Or, nous avons tous une histoire, des traumatismes (qu’il soient d’origine biographique, transgénérationnelle ou karmique). Et en fonction des charges émotionnelles qui y sont liées, une situation d’apparence banale pour quelqu’un d’autre pourra avoir un effet dévastateur sur vous.

En effet, vos émotions peuvent parfois prendre trop de place car elles sont en fait l’écho d’autre chose…

L’échos d’un traumatisme ou d’une blessure de l’âme (par exemple, du rejet, de l’humiliation…)
C’est pourquoi ce que vous vivez intérieurement peut s’avérer dérangeant.
Mais ce n’est bien souvent pas le reflet totalement fidèle de la réalité qui a vraiment lieu sous vos yeux.
C’est souvent une interprétation ou une surenchère au travers du prisme égotique blessé.

Cependant, une émotion est un message.
Et il faut l’écouter pour la libérer et en faire quelque chose au lieu de mettre le couvercle dessus ou de vous échapper.

Oui je sais, ce n’est pas confortable. Or, c’est la seule voie pour transcender un problème.

Car ce à quoi je résiste persiste !

Alors quand une émotion récurrente vous bouffe la vie, ne fuyez pas ! Vous pouvez déjà vous soulager ponctuellement du trop plein émotionnel grâce à l’outil basic PEAT, que j’explique dans mon article sur le deuil.

Mais si vous voulez vous soulager durablement d’une émotion négative, prenez plutôt votre pioche et votre lanterne…

Et Hop ! On descend pour voir ce qui se passe ! 

LES ÉMOTIONS NÉGATIVES : LE VRAI PROBLÈME

D’abord, prenez bien conscience que les émotions, tout comme vos pensées, ne sont pas TOUT votre Etre.
Aussi intenses soient-elles, elles ne sont « que » des vagues intérieures.
C’est pourquoi les écouter et les accueillir tout en les observant est possible et surtout, cela ouvre la voie de la guérison.

Car le changement commence par l’accueil de ce qui EST.

Malheureusement, ce n’est pas simple.

En vérité, j’ai remarqué qu’il existe deux situations avec les émotions négatives : soit elles sont ponctuelles, fluides et on les vit bien, soit elles prennent toute la place et ça bloblotte, c’est instable.

Elles sont ponctuelles, fluides

On est fluide car on sait les vivre sans problème puisqu’on est suffisamment équilibré (paix et liberté vis-à-vis du vécu et des conditionnements),

Elles prennent toute la place et c’est instable

J’ai rencontré deux cas de figure :

1- soit on met le couvercle dessus par peur de souffrir, ce qui peut aboutir à des allergies émotionnelles (explosions par des « bouffées » qui peuvent s’échapper de temps en temps) ou même parfois – si on a poussé le bouchon très loin – on arrive à une « incapacité » émotionnelle (on ne pleure plus, on est « coupé »…). Pour survivre, on a scellé la porte de nos tourments consciemment ou inconsciemment. Dès lors, contacter son vécu reviendrait à libérer le Kraken. oO. Il n’est pas rare de souffrir de Troubles Musculo Squelettiques, de somatisations diverses car le corps encaisse…

2- soit on est bloqué dans une émotion négative récurrente à cause d’un vécu impactant prolongé ou bref (ex : quelqu’un constamment soumis à la peur devient peureux, quelqu’un qui a souvent été en colère devient colérique, quelqu’un de souvent triste devient dépressif, une personne qui subit un traumatisme violent et soudain peut se retrouver bloquée dans la peur, la tristesse car le souvenir de ce trauma continue à faire des ravages dans son inconscient…). Le déséquilibre est important. On est ainsi dépolarisé et on ne sait plus fonctionner autrement. On peut dire que la personne est carrément devenue l’émotion négative.

Dans ces situations, je rencontre fréquemment des clients avec un vécu très difficile.

Ils ont survécu comme ils ont pu… Mais au bout d’un moment, ils se rendent compte que ce vécu devient handicapant et les empêche de vivre…

Ils souffrent, ils sentent un manque, ils sont « coupés » d’une partie d’eux-même et certains ressentent le besoin de rouvrir la porte pour faire la paix avec leur vécu mis sous clé si longtemps. Ils aspirent à rééquilibrer leurs émotions pour fonctionner plus sainement.

Certes, leur vécu traumatique y est pour quelque chose, mais notre modèle d’éducation n’aide pas non plus à cette fluidité et cet équilibre émotionnel.

Car pour beaucoup d’entre nous, depuis notre enfance, nous avons souvent reçu tout simplement l’injonction de réprimer nos émotions négatives :
-« Ne pleure pas !
-Mais moi aussi j’peux me mettre en colère !
-Arrête de pleurer, tout le monde nous regarde, tu me fais honte…
-Les garçons, ça ne pleure pas »

Ça vous dit quelque chose ?

Qui plus est, le fait d’être dans une dictature du positif, de « winner » n’arrange rien.

Cela est encore plus vrai dans le monde du travail.
Essayez de pleurer ou de vous mettre en colère en entreprise, vous verrez la tête de vos collègues !
Interdit ! Refoulement…

On vous dit même que vous devez laisser vos problèmes à la porte et on vous oblige à mettre un couvercle sur votre ressenti, à paraître lisse et imperturbable…
Humain robotisé, standardisé qui ne fait pas de vagues.

Mais c’est impossible !
Il est grand temps de réinventer l’entreprise humaine… Mais c’est un autre sujet.

Alors, si nous n’écoutons pas nos émotions, nous nions certains de nos besoins et petit à petit nous perdons le contact avec nous-même.
– Cela crée des BOUCHONS qui peuvent nous sauter à la figure un jour où la coupe est pleine.
– Cela peut engendrer un MAL-ETRE général inexplicable comme chez certains de mes clients qui ont comme perdu un bout de leur âme, surtout quand ils ont de gros traumatismes (notion chamanique). Leur personnalité est fragmentée et ils perdent leur pouvoir personnel
– Le corps peut même se mettre à somatiser pour faire entendre cette émotion dont il ne sait que faire car elle n’est pas entendue !

Ce long processus de perte de soi, de déconnexion à nous-même, fait qu’au final nous ne savons plus qui nous sommes.

Cette perte de communication avec nous-mêmes ne va pas non plus dans le sens d’une communication saine à l’autre.
En effet, comment entrer en relation avec l’autre sainement quand nous ne savons plus communiquer avec nous-mêmes ?
Que nous ne savons pas entendre ces messages que sont nos émotions et que nous bâillonnons souvent à grand coup de méditation, sophrologie, sport, hyperactivité etc. ?

EMOTIONS NEGATIVES : VRAIMENT ?

Colère, tristesse, peur, culpabilité… Vous ne les aimez pas, hein ?

Et là vous me dites : « Oui, ce sont des émotions né-ga-ti-ves »

Mais au fait, depuis quand une émotion est-elle négative ?
Une émotion n’est ni négative, ni positive : elle EST.
Et si une émotion existe, elle a une utilité. Ce n’est pas une maladie !

 

Le merveilleux film d’animation Vice Versa nous le démontre parfaitement.

Toutes les émotions « négatives » mises à l’écart par la JOIE, s’avèrent finalement nécessaires au bien-être psychique et à l’équilibre de la petite fille.

Pourtant, nous considérons souvent la tristesse comme une faiblesse indésirable.

De même, nous traitons la colère comme un manque de maîtrise alors qu’elle peut être une énergie puissante très utile et pas forcément explosive !

Les émotions négatives vous apportent un message :

  • la peur vous indique un possible danger,
  • la colère vous indique un besoin insatisfait ou vous permet de vous protéger et vous affirmer,
  • la tristesse indique un manque, un besoin non comblé (principalement affectif),
  • la culpabilité vient nous questionner dans notre responsabilité vis-à-vis de ce qu’on se reproche.

Et toutes ces émotions ont différents degrés selon leur intensité, comme le montre la roue des émotions de Plutchik. Par exemple, la peur se décline en inquiétude, crainte, peur, terreur, panique.

J’aime voir mes clients redécouvrir leur dialogue intérieur lors des séances de libération émotionnelle. Ils refont ami-ami avec leurs ressentis et s’en trouvent bien mieux. Ce qu’ils mettaient à l’écart par peur et incompréhension leur paraît soudain normal car ils contactent ce qui est derrière et ils l’accueillent avec bienveillance. Au lieu de la refouler, ils intègrent leur histoire personnelle…

Pour ma part, je préfère qualifier les émotions négatives d’émotions « désagréables ».
Sinon, on se croirait dans les contes pour enfant : il y a un gentil versus un méchant.
Bououuu ! La vilaine émotion négative !

Mais vous savez ? Cette façon de voir les choses BIEN/MAL vient de très loin.
Dans notre culture, nous nous sommes construits autour de la notion de polarités. Cela vient de la Pensée polaire.
Qu’est-ce que c’est ?
Laissez-moi vous expliquer brièvement…

COMMENT EST NEE LA PENSEE POLAIRE ?

D’abord il y a eu le Manichéisme venu de Perse, au 3ème siècle après JC.
Vous savez ? C’est quand on évalue les choses à l’aide d’antagonismes. Tout blanc ou tout noir…

Puis, cette façon de penser très catégorique a infiltré les mentalités et a même fini par influencer la morale religieuse en Occident.

 

 Dès lors, la manière de concevoir les choses en opposition s’est renforcée et a fait de notre monde un monde bipolaire où le BIEN et le MAL s’affrontent.

La pensée Polaire est ensuite née au 12ème siècle.

Elle conçoit que tout ce qui existe a deux polarités inverses : chaque chose a son opposé.
 La lumière/l’obscurité, le blanc/le noir, le Vrai/le Faux…

Et on favorise une pensée plutôt que l’autre, on catégorise, on oppose et on sépare deux choses qui sont pourtant les faces d’une même pièce.

Vous avez remarqué ?

Que ce soit dans les contes pour enfants ou dans les mythes, il y a toujours un gentil et un méchant.

Le gentil est-il mieux que l’autre ? Certes, il fait de bonnes actions.
Mais c’est l’existence de l’un qui permet de concevoir et donner vie à l’autre en tant que son opposé. Cela donne l’occasion de l’appréhender dans sa nature. Sinon, nous ne saurions pas le nommer ni le comprendre instantanément.

Il en est de même de nos états intérieurs que nous opposons : joie/tristesse, confiance/peur, patient/impatient…

LA DUALITE AUSSI DANS LA NATURE…

 

Cette façon duelle de voir les choses, provient aussi de l’observation de La Nature qui est bien faite d’oppositions franches (froid/chaud, contraction/expansion…)

Mais il y a une différence essentielle : la Nature passe aussi indifféremment et naturellement d’un état à un autre et ceci constamment !
Tandis que la pensée Polaire, elle, FIGE un état qu’elle va juger meilleur que son opposé et de manière, arbitraire, catégorique et définitive.

 

Pour prendre une image : c’est comme si on décrétait que l’inspiration était mieux que l’expiration et qu’on se mette à développer des tas de théories pour justifier cela…

Mais si vous n’expirez pas… vous n’êtes pas en vie !

La vie consiste à passer fluidement d’un état à un autre en permanence, dans l’équilibre.

Vous avez suivi ?
Bien

Alors pourquoi en serait-il autrement pour les émotions ?

LA VOIE DU SALUT : Ecouter, libérer et rééquilibrer ses émotions grâce à PEAT

Si vous avez bien suivi, vous avez compris que pour bien vivre vos émotions quelles qu’elles soient, vous devez toutes les accepter et atteindre ce que je nomme : la fluidité émotionnelle.

Pour cela, ACCUEILLEZ la polarité « négative » dans toute sa profondeur et son intensité (mais accompagné ! si c’est trop fort).
En effet, le fait de vider un abcès émotionnel permet de laisser émerger autre chose (car au vide succède le plein).
Ecoutez vos émotions désagréables et comprenez les besoins qu’elles traduisent, qui ne sont pas satisfaits en vous.

Car tant que vous musellerez une émotion, elle continuera de venir frapper à la porte jusqu’à être entendue.

Toute cette énergie bloquée s’amplifie avec le temps.
De plus, bloquer la porte est épuisant et c’est une énergie que vous n’avez pas pour autre chose et aller de l’avant.
Il est capital de rétablir une bonne fluidité émotionnelle pour atteindre un bien-être durable, et améliorer votre qualité de vie.

Donc n’ayez pas peur de ressentir ! Ça veut dire que vous êtes vivant !

Au lieu de vouloir faire du karaté (lutte), essayez donc l’aïkido (utiliser la force de l’adversaire pour le neutraliser)!

En séance de thérapie, je vous accompagne dans un véritable aïkido émotionnel grâce à la technique PEAT.

Bien souvent, les gens ont peur d’explorer un certain état « négatif » et ils sentent qu’ils ne pourront pas arriver seuls à les purger. Et c’est souvent vrai.
Certains ont carrément peur « d’exploser » tant l’intensité des émotions qu’ils ont refoulées est importante !
Ils sentent la puissance de ces émotions désagréables car elles n’ont pas été exprimées depuis si longtemps…
Alors, bien sûr, il est souhaitable de les libérer en se faisant accompagner.

Cependant, les libérer n’est pas suffisant pour parvenir à l’équilibre… Ça soulage, mais ce n’est pas suffisant. Vous allez certes traverser et libérer vos ombres : émotions désagréables, souvenirs traumatisants, colères, tristesses, peurs…

Mais afin d’atteindre la sérénité, nous devrons aller voir aussi vos joies, vos bonheurs afin de les rééquilibrer ensemble !
Car ils sont partenaires !

C’est ce mariage et réconciliation qui provoqueront la libération émotionnelle qui aboutira à la fluidité à laquelle vous aspirez tant !
Vous arrêterez de FAIRE LES MONTAGNES RUSSES et stabiliserez vos émotions en les vivant toutes, mais sans excès pathologique ou inconfortable. Vous pourrez trouver la paix intérieure.

Vous allez apprendre à accueillir tout ce que vous êtes avec bienveillance, à vous soulager émotionnellement de vos souffrances et de vos croyances limitantes.
Grâce à ce travail de rééquilibrage, vous allez pouvoir vivre un état de plus en plus fluide, léger et STABLE. Au lieu d’être envahi et submergé au point de faire diversion ou l’autruche.

Ainsi, transcender vos problématiques émotionnelles et non les vaincre est la seule voie vers l’unité et la paix intérieure. Tout évitement diffère le problème. Un rééquilibrage de vos émotions grâce à la méthode PEAT, vous permettra de traverser la vie et ses épreuves plus facilement. Vous jonglerez avec vos émotions plus rapidement, sans en interdire aucune. Vous goûterez à la sérénité et à une nouvelle liberté quant à vos conditionnements passés. Vous savourerez davantage le moment présent par une qualité de présence accrue à vous-même et au monde. Le champ de conscience s’élargira, gage d’un autre rapport au monde et d’une reliance plus forte à la Vie. C’est le chemin de l’éveil.

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