Thérapie efficace ou Mon soutien Psy ? Le piège du remboursement à tout prix

Thérapie efficace ou Mon soutien Psy ? Le piège du remboursement à tout prix

Mary Mann

Le vrai coût de Mon soutien Psy

Lorsqu’on est en souffrance psychique, il est naturel de vouloir se faire accompagner sans pour autant avoir l’impression de se ruiner. Le dispositif « Mon soutien Psy » semble à première vue une bonne nouvelle : une prise en charge partielle des séances de psychologie, dans un cadre remboursé par la Sécurité sociale. Mais cette initiative, qui part d’une intention louable, pose une question cruciale : est-ce vraiment la voie vers une thérapie efficace ? Ou est-ce un miroir aux alouettes qui compromet la qualité de l’accompagnement psychologique ?

Une thérapie efficace et de qualité ne rime pas avec remboursement

 

Depuis la mise en place du dispositif Mon soutien Psy, nombreux sont ceux qui pensent enfin avoir trouvé la solution pour entamer une thérapie « pas chère ».

Ils font l’erreur de rechercher en priorité un professionnel remboursé.

À première vue, l’idée paraît séduisante.

Pourtant, c’est une vision réductrice de ce qu’est une vraie démarche thérapeutique.

Choisir une psychothérapie uniquement sur la base d’un prix ou d’un remboursement, c’est courir le risque de choisir la mauvaise porte… et de rester enfermé dans sa souffrance.

Une thérapie efficace repose avant tout sur la relation, l’engagement du praticien, la diversité des outils utilisés et la personnalisation de l’accompagnement. Tout cela demande du temps, de la formation continue, de la liberté technique… et donc une certaine autonomie vis-à-vis des dispositifs à bas prix.

Choisir un praticien en fonction du prix, c’est comme évaluer la qualité d’un article en supermarché par son seul prix unitaire au lieu de regarder le prix au kg et sa composition. Ces deux derniers critères sont le VRAI prix et en reflètent la qualité.

Des séances trop encadrées… et trop courtes

 

Le dispositif « Mon soutien Psy » prévoit 12 séances maximum par an, remboursées à 60% par la Sécurité sociale (certaines mutuelles complètent).

Les séances sont facturées 50 euros chacune, sans possibilité de dépassement d’honoraires.

Quand on sait que la plupart des psy sont au-delà de ce tarif, beaucoup refusent ce dispositif…

En plus, la durée est réduite : 45 min/1h par séance. Et quand on déduit les 15-20 minutes prises par les politesses d’accueil, le récapitulatif de la séance précédente et la conclusion, que reste-t-il pour un travail en profondeur ?

Bien souvent, le temps manque pour aller au cœur de la souffrance.

Ce n’est pas pour RIEN que mes séances de libération émotionnelle durent 1h30 ! 

Un cadre inadapté pour des besoins profonds

 Le dispositif Mon soutien Psy a aussi de nombreuses limites structurelles :

  • Il exclut de nombreux profils à cause de critères restrictifs d’inclusion (Seulement 0,5% des français pourront en bénéficier avec des critères excluant la majorité des patients en demande)
  • Il impose un parcours médical préalable qui peut retarder l’accès à l’aide
  • Il précarise la profession en la paramédicalisant et en imposant des tarifs sous-évalués
  • Il remet en question l’éthique professionnelle (secret partagé, comptes rendus au médecin traitant, etc.)

Même des psychothérapeutes diplômés refusent d’y participer, estimant que leur liberté thérapeutique, leur qualité d’écoute et la confiance du cadre sont gravement affectées.

Des séances limitées, des outils bridés… une thérapie au rabais

Le cadre imposé par « Mon soutien Psy » empêche les psychologues conventionnés d’utiliser tous leurs outils : PEAT, EMDR, hypnose… autant de techniques pourtant essentielles dans l’accompagnement des troubles profonds.

C’est un peu comme si on vous proposait un soin médical… mais avec uniquement du paracétamol.

Même pour une fracture.

C’est pourquoi beaucoup de psychologues, y compris diplômés d’État et expérimentés, refusent de s’inscrire dans ce dispositif !

La parole seule, si elle est utile, souvent ne suffit pas.

Pour certaines personnes, notamment celles souffrant de traumas ou de troubles ancrés, le corps, l’inconscient et l’émotionnel ont besoin d’être mobilisés par d’autres biais que le seul entretien verbal.

Car comment verbaliser quelque chose dont on n’a pas conscience ?

Faut-il le rappeler ? Le mental ne résout rien d’autre que les problèmes quotidiens et organisationnels. Il nous aide à survivre.

Et comprendre un problème intellectuellement ou vider son sac n’a jamais rien résolu émotionnellement.

    Quand les thérapies classiques montrent leurs limites

    Il me revient en mémoire un exemple (typique de ma clientèle)…

    J’ai pu accompagner une femme en dépression : suivie sans succès par un médecin et une psychologue depuis plusieurs mois. En arrêt de travail depuis un moment : malgré cette prise en charge « officielle », elle stagnait, restait en arrêt, épuisée.

    Or elle était déterminée à s’en sortir mais désespérait de trouver une thérapie efficace.

    C’est sur les conseils d’une professionnelle de santé qu’elle est venue me consulter en thérapie.

    En seulement cinq séances sur un mois, un véritable déclic s’est produit : elle a repris le travail, nous avons aussi pu libérer des blocages et problématiques émotionnelles dans sa sphère privée. Ma cliente témoigne aujourd’hui de sa renaissance.

    Ce qui a fait la différence ?

    Une approche multidimensionnelle plus profonde, holistique, intégrant différents outils thérapeutiques réellement libérateurs adaptés à sa problématique, et un espace thérapeutique libéré des contraintes du système.

    Quel aurait été le coût pour la société si elle avait continué à être en arrêt maladie et en dépression ?

    Et combien de temps et de qualité de vie auraient été perdus pour cette personne ?

    Choisir un thérapeute : la qualité avant tout !

    Certaines personnes me contactent en disant : “Votre méthode me parle, c’est exactement ce que je cherche… mais est-ce que vous êtes remboursée ?”

    Un jour, une personne m’a contactée car mon approche lui parlait vraiment. Mais elle cherchait une prise en charge remboursée par sa mutuelle, qui n’acceptait que les praticiens avec un numéro ADELI.

    Résultat ? Elle a renoncé à l’accompagnement qui la motivait le plus, préférant un thérapeute conventionné pour récupérer quelques dizaines d’euros… au détriment de l’approche qu’elle sentait pourtant juste pour elle.

    C’est une perte de chance. Et surtout, une illusion d’économie.

    Car ce que vous ne payez pas financièrement, vous le payez souvent émotionnellement, en stagnation, en rechute ou en thérapie à rallonge.

    Je ne compte plus le nombre de mes clients « en bout de course » thérapeutique, épuisés par des années de psychanalyse, de parole avec psychologue ou psychiatre, sans progrès majeur. 

    Le remboursement : une illusion d’économie

    Ce que vous ne payez pas… vous le payez quand même.

    Première idée reçue à déconstruire : “c’est remboursé donc c’est gratuit”.

    60% des séances peuvent être prises en charge par la CPAM. En réalité, la Sécurité sociale est financée… par vos cotisations, vos impôts.

    Quant aux 40% restants, si vous avez une mutuelle, vous payez votre cotisation qui a tendance à augmenter chaque année…

    Autrement dit : vous payez quand même, mais autrement.

    En réalité, ce qui est « remboursé » a déjà été payé !

    Cela signifie aussi que si vous choisissez un professionnel dont l’approche ne vous convient pas ou qui est limité dans ses outils, vous payez doublement : en temps perdu et en absence de résultats.

    Vous finissez par être dégoûté et jetez l’éponge.

    Alors pourquoi se priver d’une thérapie efficace sous prétexte qu’elle n’est pas conventionnée, alors qu’elle pourrait vous permettre de retrouver rapidement énergie, stabilité et libération ?

    Investir en soi, c’est faire le bon calcul

    Le bon choix, c’est celui qui vous libère vraiment !

    Faire le choix d’un accompagnement en dehors du dispositif Mon soutien Psy, c’est peut-être ne pas être remboursé à court terme… mais c’est souvent gagner du temps, de l’énergie et de la vraie qualité de vie.

    La qualité a un prix, certes. Mais la libération, elle, n’a pas de prix.

    La thérapie est un chemin de transformation intérieure, qui demande un accompagnement subtil, individualisé, profond.

    Vous méritez plus qu’un forfait limité à 12 séances.

    Vous méritez d’avoir accès à des approches qui vous correspondent vraiment : libération émotionnelle (Méthode PEAT), libération transgénérationnelle, approche corporelle et énergétique avec la mudrathérapie

    Bref une approche holistique.

    Une thérapie efficace repose sur un travail en profondeur, une méthode adaptée et un lien de confiance. Le prix ne devrait pas être le 1er critère.

    Car au final, ce qui coûte cher, c’est de ne pas aller mieux.

    Alors avant de choisir une prise en charge simplement parce qu’elle est remboursée, demandez-vous : qu’est-ce que je cherche vraiment ?

    Un tarif ou un vrai changement ?​

    Ne confondez pas remboursement et solution durable. Ce n’est pas le coût affiché d’une thérapie qui en fait sa valeur, mais ses résultats réels. Investir dans un accompagnement de qualité, une thérapie efficace, c’est investir en vous-même, et c’est le calcul le plus rentable.

     

    Mary Mann Thérapie

     

    Mary Mann : La thérapie autrement !

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    Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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    mm[@]marymann.fr 

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    Traumatismes Familiaux et Épigénétique : se Libérer de l’Héritage Transgénérationnel

    Traumatismes Familiaux et Épigénétique : se Libérer de l’Héritage Transgénérationnel

    Mary Mann

    Comment reprendre le contrôle sur son héritage familial

    Les traumatismes familiaux peuvent influencer notre comportement et notre santé, parfois à notre insu, par le biais de mécanismes épigénétiques. Ces blessures héritées modifient l’expression de nos gènes, mais il est possible de s’en libérer pour vivre pleinement. Explorons comment l’épigénétique éclaire cette dynamique transgénérationnelle et comment vous pouvez reprendre le contrôle.

    Traumatismes Transgénérationnels : Une Mémoire qui s’Imprime dans le Corps

     

    Les traumatismes subis par nos ancêtres – guerres, violences, pertes ou privations – peuvent influencer les générations suivantes.

    Ces blessures émotionnelles transmises inconsciemment et ces événements traumatiques imprimés dans le corps, impactent notre comportement, nos émotions et même notre santé.

    Ces « bagages invisibles » peuvent parfois générer anxiété, blocages ou difficultés relationnelles.

    Ils nous maintiennent dans des schémas inconscients.

     

    D’ailleurs, notre capacité au bonheur est elle aussi directement impactée par notre lignée.

    Puisque notre capacité à être heureux dépend à 90% de ce leg familial (50% provient de notre génétique et 40% de notre perception des choses = état d’esprit et croyances).

    L’Épigénétique : Comprendre le Lien entre Comportement et Génétique

     

    Comme l’explique Joël de Rosnay– Docteur Es Sciences, notre ADN ne dicte pas tout.

    L’épigénétique démontre que l’expression de nos gènes est modulée par notre mode de vie :

    • qualité d’alimentation,
    • activité physique ou non,
    • gestion du stress,
    • plaisir dans ce que nous faisons,
    • et qualité de réseau social.

    Ces facteurs influencent la « lecture » de nos gènes, ouvrant ou fermant des chapitres de notre « livre génétique ».

    Pour bien comprendre le mécanisme, rien de mieux que de lire les propos de Joël De Rosnay lui-même. 

    C’était en 2013, lors d’un débat dirigé par Eric Jouan intitulé : Comment construire un nouveau futur ? (université de la terre).

    Son intervention portait le titre suivant : L’épigénétique ou l’influence de nos comportements sur notre Santé

     » Vous connaissez tous la génétique.
    C’est l’ADN : le programme du vivant.
    Et pendant très longtemps on a cru que cet ADN ne pouvait faire des variations que par des mutations qui mettent très longtemps à se traduire par des espèces qui vont s’adapter (sélection Darwinienne).
    Or le programme de la vie ne code que pour 15 % des outils qui font fonctionner la cellule vivante (enzymes et protéines).
    On s’est longtemps demandé à quoi correspondait les 85 % restants, et comme on ne savait pas, on a appelé ça « l’ADN poubelle »…
    Maintenant on sait que ces 85 % permettent la fabrication de petites molécules d’ARN (beaucoup plus petite que le brin d’ADN).

    Et elles circulent en permanence dans le corps et régulent le fonctionnement des gènes.
    Donc l’épigénétique c’est : la modulation de l’expression des gènes.
    En fonction de quoi ?
    De votre comportement quotidien !

    1. Ce que vous mangez,
    2. Si vous faites de l’exercice ou pas,
    3. Si vous managez ou non votre stress,
    4. Si vous avez du plaisir dans ce que vous faites,
    5. Et si vous avez un réseau social et familial qui marche bien.

    Ces cinq éléments, combinés entre eux vont conduire à la production dans votre corps de petites molécules qui vont s’accrocher à des enzymes.

    Lesquelles vont rentrer et être reconnues dans le noyau où il y a l’ADN.
    Cet ADN est protégé par une gaine (comme un fil électrique est protégé par du plastique).
    Cette gaine est composée d’histones (protéines).

    Or l’ouverture de ces histones permet de polymériser l’ADN en ARN messager qui va permettre de fabriquer les enzymes et les protéines ou non.
    C’est comme un livre de cuisine où les pages de chapitres sont collées.

    Si le chapitre du soufflé au fromage est collé, vous ne pouvez pas faire de soufflé au fromage.
    Par contre si le chapitre du poulet est décollé vous pouvez faire du poulet.
    Mais si on recolle le chapitre du poulet, et qu’on ouvre le chapitre du soufflé au fromage vous pourrez faire du soufflé au fromage.
    L’ADN est comme ça.
    Il y a des gènes qui s’expriment, des gènes silencieux, des gènes inhibés.
    Et ça dépend de notre comportement.

    Donc réalisez ce que cela représente pour la médecine préventive et pour vous !
    Vous pouvez être en partie responsable de votre santé.
    Oui, vous pouvez faire quelque chose pour vous !
    Essayer d’être en meilleure santé.
    Essayer de vieillir moins vite.

    Je termine avec un exemple que sont les abeilles : toutes les abeilles naissent avec le même capital génétique.
    Mais si vous donnez à manger de la gelée royale à certaines larves elles deviennent des reines.

    Rien que l’alimentation a déjà influencé l’expression des gènes. »

    En d’autres termes, notre mode de vie peut influencer positivement ou négativement la manière dont nos gènes s’expriment, et donc la manière dont notre corps et notre esprit fonctionnent. 

    Les Liens entre Traumatismes de Lignée et Épigénétique

     

    Les traumatismes familiaux peuvent, via ces mêmes mécanismes épigénétiques, activer ou inhiber des gènes spécifiques.

    Par exemple, des ancêtres ayant vécu un stress chronique ou des violences peuvent transmettre une prédisposition biologique au stress ou des difficultés émotionnelles.

    Ce phénomène est observé chez des descendants de victimes de guerres ou d’abus, où le système de gestion du stress (notamment le niveau de cortisol) est perturbé.

    Cette perturbation dans la production de cortisol altère la capacité à gérer le stress chez les descendants.

    Libérer ces mémoires familiales traumatiques permet de réduire leur impact biologique et psychologique.

     Libération Émotionnelle Transgénérationnelle : Reprendre le Pouvoir

     

    Travailler sur les traumatismes familiaux via des thérapies adaptées permet de désactiver ces schémas hérités.

    En partant du problème actuel s’exprimant dans votre vie, puis en mettant en lumière son origine pour finir par la transcender grâce à des processus thérapeutiques innovants, nous nous relions différemment à notre histoire familiale.

    En libérant ces blocages inconscients, il devient possible d’apaiser nos réactions émotionnelles et empêcher la transmission des blessures aux générations futures.

    L’Exemple Inspirant des Abeilles

     

    Joël de Rosnay utilise l’exemple des abeilles pour illustrer l’épigénétique.

    Bien que partageant le même ADN, seules celles nourries à la gelée royale deviennent des reines.

    Ce parallèle montre combien notre environnement et nos choix de vie influencent notre développement.

    Tout comme nos gènes sont influencés par nos blessures familiales.

    Vous avez donc la capacité d’agir sur votre santé et votre futur en faisant le choix de libérer votre héritage transgénérationnel.

    Car nos comportements actuels et notre travail sur les mémoires transgénérationnelles peuvent transformer notre destin et celui de nos descendants…

    Nos comportements et notre état émotionnel ne sont pas figés : ils sont le fruit d’un héritage transgénérationnel que nous pouvons transformer. Comprendre les mécanismes épigénétiques ouvre une porte vers une véritable autonomie émotionnelle et physique. En travaillant sur les traumatismes de notre lignée, nous ne libérons pas seulement notre présent, mais aussi l’avenir des générations futures.

     

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    Libération transgénérationnelle : Comment transcender les traumatismes hérités ?

    Libération transgénérationnelle : Comment transcender les traumatismes hérités ?

    Mary Mann

    Se libérer des traumas de lignée et transformer sa vie

    Le concept de libération transgénérationnelle gagne en popularité, notamment avec les avancées en épigénétique. Nous savons désormais que les traumatismes vécus par nos ancêtres ne disparaissent pas simplement avec le temps, mais qu’ils peuvent influencer la santé émotionnelle des générations suivantes. Mais comment les expériences traumatiques peuvent marquer l’ADN et se transmettre à travers les générations ? Et comment s’en libérer ?

    Les traumatismes transgénérationnels : des cicatrices invisibles mais profondes

     

    Les recherches sur l’épigénétique montrent que des événements traumatiques, tels que des guerres, abus ou génocides, laissent des empreintes biologiques chez ceux qui les vivent.

    Ces marques ne modifient pas les gènes eux-mêmes, mais influencent leur expression par des mécanismes comme la méthylation de l’ADN (par le biais de marqueurs chimiques activant/désactivant certains gènes). Pour prendre une métaphore facile : le génome est notre disque dur pour fonctionner. Mais c’est l’épigénétique qui dit aux gènes du génome comment fonctionner (tel un logiciel).

    Ainsi, des études ont démontré que les descendants de personnes ayant survécu à des événements traumatiques présentent des modifications épigénétiques similaires à celles de leurs parents, avec des répercussions sur leur santé mentale.

    Par exemple, les travaux de Rachel Yehuda (professeure de psychiatrie et de neurosciences des traumatismes au Mount Sinaï, à New York) ont révélé que les enfants des survivants de la Shoah étaient plus exposés aux troubles de l’anxiété.

    La réponse au stress est altérée : leur taux de cortisol (glucocorticoïde) est plus faible. Or, cette hormone joue un rôle clé dans la restauration de l’équilibre après une réaction de stress. Ce dysfonctionnement est également observé chez les personnes ayant subi des abus durant leur enfance.

    D’autres traumatismes de lignée impactent souvent l’ADN (avec son lot de vulnérabilité psychique ou de troubles métaboliques) : famine, viol, esclavage, guerre, génocide, enfant illégitime, abandon, orphelin de guerre…

    Ces résultats suggèrent que le traumatisme se transmet au-delà de l’expérience individuelle, marquant même les générations qui n’ont pas directement vécu ces événements traumatiques.

    Pour citer Rachel Yehuda : une expérience bouleversante ne « disparaît pas quand vous mourez ». « Elle vous survit sous une certaine forme ».

     

    Comment le traumatisme se transmet-il ?

    Le processus est complexe mais fascinant.

    L’épigénome, souvent comparé à un logiciel, module l’activité des gènes en fonction des conditions environnementales et émotionnelles.

    Un stress intense ou un événement traumatique peut activer ou désactiver certains gènes, ce qui influence ensuite la manière dont ces gènes sont transmis à la génération suivante.

    Des expériences menées sur des souris ont révélé que le traumatisme pouvait être « hérité » à travers des générations. Autrement dit, le corps s’en souvient.

    Les souris soumises à des chocs électriques liés à une odeur particulière transmettaient leur peur à leur progéniture, sans que celle-ci n’ait jamais subi le traumatisme original.

    Mais ce n’est pas une fatalité. Dans certaines études, lorsque les souris étaient placées dans un environnement stimulant et sécurisé, ces réponses traumatiques disparaissaient, suggérant que la libération transgénérationnelle est possible avec un accompagnement adéquat

      

    Vers une libération transgénérationnelle

     

    L’idée que nous puissions être influencés par les traumatismes de nos ancêtres est certes fascinante, mais elle peut aussi sembler accablante.

    Heureusement, la science nous montre qu’il est possible d’inverser ces marques épigénétiques.

    Des études sur les animaux, ainsi que sur les humains, ont révélé que des environnements enrichis, une thérapie émotionnelle et même des changements dans le mode de vie, comme l’exercice physique, peuvent modifier ces empreintes épigénétiques.

    Des praticiens spécialisés dans la libération transgénérationnelle peuvent aider à réparer les blessures émotionnelles héritées.

    Par diverses techniques, il est possible de réécrire ces schémas épigénétiques pour enfin rompre avec les traumatismes du passé.

    Les traumatismes transgénérationnels ne sont pas une condamnation à vie. Grâce aux découvertes récentes en épigénétique et aux thérapies modernes, il est possible de comprendre et de se libérer des blessures ancestrales. La libération transgénérationnelle offre une voie vers une meilleure santé émotionnelle et une vie plus sereine, libre des poids du passé.

     

    Mary Mann Thérapie

     

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    Transgénérationnel : notre corps se souvient

    Transgénérationnel : notre corps se souvient

    Mary Mann

    Entendez-vous ?

    Avez-vous déjà pris conscience que vous êtes le fruit d’une longue lignée venue du fond des âges ? Ce lien transgénérationnel qui vous unit à vos ancêtres s’étire jusqu’aux origines de l’humanité… Ressentez-vous parfois des attirances viscérales pour certaines choses, sans véritable raison ? Souffrez-vous de blessures émotionnelles exacerbées qui ne trouvent pas vraiment d’origine dans votre vie ? Vous êtes-vous déjà interrogé sur vos ancêtres et avez-vous parfois constaté des similitudes de comportement ou dans vos choix de vie ? Si votre conscience n’a pas toujours les mots pour l’expliquer, votre corps lui, se souvient…

    Vous arrive-t-il d’avoir des émotions qui soudain vous submergent plus que de raison face à un événement ? Comme si cela venait toucher quelque chose de profond qui ne vous appartient pas ? Vous avez l’impression que quelqu’un d’autre pleure à travers vous, que quelqu’un d’autre a peur… Cela vous secoue, cela vous dépasse et se répète à chaque nouvelle situation similaire !

    Ou avez-vous des attirances pour quelque chose, que ce soit un pays, une activité ? Et vous ne savez pas d’où ça vient, c’est plus fort que vous !

    Avez-vous des intuitions très fortes sur votre famille, des secrets que vous percevez comme au travers d’un rideau que vous ne parvenez à ouvrir ? Mais c’est là et vous le sentez en vous sans pouvoir l’expliquer !

    J’ai toujours été passionnée de généalogie. Ces fragments d’histoire exhumés qui revivaient le temps d’une lecture aux archives, ouvraient les portes de mon imagination. En même temps qu’un vortex magique dans l’espace-temps.

    Ce lien aux ancêtres m’a toujours émerveillée…

    Vous avez vu Avatar ? Vous vous souvenez de l’arbre blanc des ancêtres ? Votre corps, vos souvenirs, c’est un peu comme cet arbre sacré dans Avatar. Si vous prêtez l’oreille et écoutez votre corps, vous pouvez entendre vos ancêtres vous parler… Leur histoire est là, vous avez une base de données génétique et émotionnelle incroyable en vous !

    Mon cas personnel

     

    holland photo

    Oui, cette image d'illustration est un cliché. Mais quand même, une femme guerrière viking, ça méritait quelque chose de classe.

    J’ai envie de vous raconter un peu de mon histoire…

    1- J’ai toujours été attirée par la Hollande, pourtant, à mon grand désarroi, je n’y ai jamais mis les pieds. Curieux, non ? A l’adolescence, c’était même bien plus fort que cela : j’éprouvais de la NOSTALGIE pour ce pays que je ne connaissais pas.

    J’en avais presque un trou au cœur.

    A l’époque, je savais juste que mon grand-père maternel était belge mais je n’avais pas conscientisé que j’avais des origines flamandes. Plus tard, j’ai remonté ma « branche » et là, j’ai pu grâce à internet, trouver que le berceau du patronyme de mon grand-père était à Sneek (province de la Frise), tout au nord de la Hollande… Etrange, non ?

    2- J’ai toujours été attirée par la Scandinavie. L’appel a toujours été très fort. Je m’y sens chez moi. La culture, les légendes, les paysages… Tout m’a toujours parlé au cœur. Et j’ai toujours eu l’intime conviction que j’avais un lien avec ces pays du Nord.

    Physiquement, c’était un peu une évidence aussi…

    Et puis un jour, lors d’un soin chamanique de recouvrement d’âme que j’ai reçu, je suis partie en transe.

    Là, j’ai eu des visions incroyables. Je suis partie en voyage au travers des brumes du temps. Soudain, les brumes se sont écartées et là j’ai vu un drakkar ! Puis j’ai eu d’autres informations que je ne relateraient pas ici.

    En résumé, j’ai eu la révélation que j’avais des ancêtres vikings et que je portais une mémoire familiale liée à leurs invasions.

    Bien des années plus tard, j’ai effectué un test génétique.

    Et vous savez quoi ?

    Il est non seulement venu détailler mes ascendances hollandaises, mais ce test m’a aussi apporté une autre information fascinante. Mon ADN mitochondrial maternel est le même que celui de la première chef guerrière viking retrouvée en Suède. Nous partageons une ancêtre commune il y a 10 000 ans.

    Sa tombe somptueuse a été trouvée en 2017 sur l’île de Bilka. Les guerrières vikings de cette importance étaient des guides et elles étaient toujours associées aux esprits, à la magie, la divination… Je trouve ce détail fascinant sachant que je pratique le chamanisme et que je sais que ce don me provient de ma lignée maternelle. Mon arrière grand mère était sage-femme dans son village et elle faisait des onguents aux plantes… J’ai même appris que cette femme très pieuse avait soigné des ouvriers malades de la grippe espagnole dans l’église du village, sans tomber malade elle-même.

    Mais j’ai aussi demandé à mon père de faire ce test et il s’avère qu’il a 5% d’ADN Scandinave. Effectivement, les vikings ont aussi envahi les Flandres françaises d’où venait sa mère…

    Bref, il y a bien du viking en moi. Comme quoi… mon corps le savait.

    De mes ancêtres Hollandais, il me reste la passion pour leur grand chapeau noir, la peinture flamande, et mes 1.78 m. Quant à mes ancêtres Scandinaves, j’en ai hérité une fascination pour les aurores boréales ainsi que pour la mythologie nordique et qui sait… de ce don pour le chamanisme ?

    En plus, on m’a toujours prise pour une hollandaise ou une Suédoise en vacances ! LOL.

    Bon, difficile de trouver des chapeaux noirs à grands bords aujourd’hui, j’ai fait avec ce que j’ai trouvé ;-)…

     

    Nous héritons bien des traumatismes des générations passées…

     

    … et ce sont les gènes qui les transmettent. (vu sur www.atlantico.fr)

    Des expériences récemment menées sur des souris par une équipe de chercheurs de l’université d’Atlanta ont mis en évidence le fait que des événements traumatisants provoquaient des modifications sur l’ADN observé dans leur sperme, et avaient des effets sur le cerveau et le comportement des générations suivantes.

    D’après le professeur Marcus Pembrey, du University College London, ces découvertes sont transposables aux hommes.

    Cela me rappelle d’ailleurs un autre constat il y a quelques année, aux Etats-unis… A New York, de nombreux enfants nés fin 2001, début 2002 souffraient d’un stress post-traumatique qui a d’abord été inexpliqué.

    Puis les médecins ont fait le rapprochement : leurs mères ayant vécu les événements traumatiques du 11 septembre 2001 alors qu’elles étaient enceinte, l’information de danger de mort s’est transmise au bébé qui en a développé un stress viscéral inconscient, un stress transgénérationnel.

    L’impact plus fort venant de la mère a d’ailleurs été prouvé il y a une vingtaine d’années : l’information parentale n’est pas égale ; elle est généralement plus favorable à la transmission des caractères de la mère que de ceux du père.

    A quel point sommes-nous façonnés par ce qui nous a précédé ?

     

    Pierre Robertoux* nous explique :

    « Nous sommes influencés culturellement. Mais nous le sommes de multiples façons. Pour cela je vous citerai une autre étude, qui a mis en avant un mécanisme différent mais a abouti à un résultat analogue.

    Des souris ayant subi une carence alimentaire et ayant été soumises à un stress apprennent mal. Même bien nourrie, leur progéniture apprend mal, et cela pendant deux générations. Que s’est-il passé ? Les grand-mères mal nourries n’ont pas donné de soins suffisants à la progéniture.

    De ce fait, cette dernière présente des performances cognitives faibles. Mais ces mêmes souris ne savent pas donner les soins nécessaires aux petits qui, de ce fait également apprennent mal. Linda Crnic, qui fit cette expérience il y a voici trente ans, observa des conséquences des privations et stress infligés à une souris pendant trois générations.

    Il n’y a pas que les mécanismes génétiques ou épigénétiques qui nous aident à nous souvenir des ancêtres. »

    Eh oui, il y a aussi tous nos comportements, nos croyances…

     

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    Qui est Pierre Robertoux ?

    *Pierre Roubertoux est professeur de génétique et de neurosciences à Marseille. Il a créé et dirigé le laboratoire « Génétique, neurogénétique, comportement » du CNRS et a travaillé au laboratoire « Génomique fonctionnelle, comportements et pathologies » du CNRS, à Marseille. Il mène aujourd’hui ses recherches au sein du laboratoire de génétique médicale de l’Inserm. Ses travaux sur la découverte de gènes liés à des comportements lui ont valu le prix Theodosius Dobzhansky, aux États-Unis.

    J’avais d’ailleurs vu il y a quelques années une étude fort intéressante de deux chercheurs en Scandinavie qui avaient la même conclusion.

    Si ma mémoire est bonne, ils avaient remarqué que les jeunes filles portaient la mémoire traumatique d’événements marquants, quand ceux-ci leur arrivaient principalement avant la puberté, et que l’information était transmise sur 3 générations parfois 4 (si le traumatisme était très fort).

    Quant aux garçons, c’était la période de la puberté qui était déterminante, et de même, l’information était encodée quelque part dans le génome et transmise à la descendance sur 3 ou 4 générations.

    Si je me souviens toujours bien, ils avaient étudié le cas d’une femme en surpoids dont les ancêtres avaient souffert de famine. Son corps était ainsi programmé pour garder et optimiser la nourriture même si elle avait suffisamment à manger !

    Regardez aussi la tribu des Apaches dont Geronimo était un grand leader. A leur grande époque, avant d’être intégrés de force dans la société américaine et que leur mode de vie soit totalement remis en question, les Apaches avaient une endurance à toute épreuve.

    Ils parcouraient des kilomètres chaque jour, telles des gazelles sous un soleil de plomb, dans un milieu désertique, avec très peu d’eau (durant leurs expéditions, ils tiraient principalement leur eau grâce aux plantes du désert qu’ils connaissaient très bien). Ils n’avaient bien souvent qu’un peu de viande séchée comme nourriture pour plusieurs jours.

    Mais cela ne les empêchaient pas de parcourir des distances incroyables ! Cela faisait d’ailleurs parti du rite d’initiation des jeunes hommes en plus de la quête de vision de leur animal de pouvoir…

    Aujourd’hui, ils n’ont plus du tout ce mode de vie très rude et leur corps a malgré tout gardé la mémoire d’un métabolisme ultra performant, optimisant la moindre calorie ingérée. Résultat : leurs descendants sont TOUS en surpoids ou pire : obèses !

     

    Observez votre famille et observez-vous

     

    Nous sommes le fruit de 2 guerres mondiales, la plus vieille remontant à seulement 100 ans. Nos arrière-grands parents ont fait cette guerre, beaucoup y sont morts tragiquement. Nos grands parents ont connu cette guerre dans l’enfance, traversé des périodes violentes, dures, ont pu souffrir de la misère, de la faim être déracinés…

    La crise de 1929 est aussi passée par là et a pu laisser sa marque de faillite et de honte sur certaines lignées… Si vous êtes adulte aujourd’hui, vous êtes justement la 3ème ou 4ème génération.

    Peut-être sentez-vous encore dans vos tripes la peur des soldats au moment d’aller à l’assaut en 14 sous le vacarme tonitruant des bombes allemandes ? Fondez-vous en larmes de manière inexpliquée devant les documentaires reparlant de ces deux terribles conflits mondiaux ?

    Auriez-vous un ancêtre qui a souffert du gaz moutarde et qui en est mort après la guerre ?  Et que cela vous fait mal respirer sans raison ? Que dire sur les camps de concentration… Peut-être que certain(e)s de vos ancêtres se sont retrouvés orphelins ou veuves de guerre et que vous portez leur blessure d’abandon… Ou encore un de vos ancêtres a fait faillite et de ce fait vous interdit inconsciemment de prospérer

    Tant de traumatismes jalonnent notre histoire de famille !

    Comment s’en libérer ?

     

    Pour avoir vécu cela dans ma chair, ce sont des postulats passionnants à explorer et à libérer pour aller mieux et vivre notre vie enfin libérés de ces mémoires transgénérationnelles meurtries.

    Car elles font partie de notre histoire, mais elles ne sont pas notre vie présente et pourtant, elles provoquent encore des résonances.

    Vous êtes le fruit d’une histoire humaine venant du fond des âges et qui se perpétue depuis l’aube de l’humanité…

    Un proverbe africain dit : « pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient ».

    Au-delà de vos propres blessures émotionnelles biographiques (votre vécu), il y en a d’autres parfois inconscientes qui viennent alourdir votre sac et amplifient vos réactions dès lors qu’elles font écho avec votre vécu dans cette vie.

    Ces blessures peuvent venir de vos ancêtres et parfois même de vos vies antérieures (mémoires karmiques) qui vous ont laissé des schémas non résolus, des croyances, des traumatismes que vous pouvez retrouver dans votre vie actuelle afin de les dépasser, de vous libérer du cycle de répétition et d’évoluer.

    Il n’est pas rare que ces blessures tant familiales que karmiques soient du même registre (tiens comme par hasard, histoire d’en rajouter une couche) et se répondent pour mieux se faire entendre et vous faire progresser…

    Il m’arrive de tomber sur des mémoires karmiques ou familiales lors d’un soin chamanique mais parfois en thérapie PEAT !

    Il est donc intéressant de voir que nous pouvons aborder la problématique de vos émotions de bien des façons :

    Donc si vous souffrez de troubles émotionnels plus forts que vous, que vous puissiez les relier ou non à un événement traumatique vécu dans votre famille, Sachez qu’ils ne demandent qu’à être entendus et libérés.

    C’est sur cela que je vous invite à porter votre attention…

     

    Alors prêtez l’oreille, ressentez votre corps et vos émotions…

    Que vous disent vos ancêtres ?

    Mary Mann Thérapie

     

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    Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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